Pauwels attaque Crasson: "A Anderlecht, il était dopé"

Pauwels attaque Crasson: "A Anderlecht, il était dopé"

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Mardi soir, la Maison des Sports de la Province de Liège était le
théâtre d'un grand débat sur le dopage. C'est Stéphane Pauwels qui
animait les débats, où on retrouvait parmi les intervenants Luc Misson,
le Dr Jean-Pierre Castiaux et le journaliste de L'Équipe , Damien
Ressiot.

L'ancien chroniqueur de Studio 1 s'est lâché en cours
de soirée, et La Dernière Heure a noté ses propos, pour le moins
interpellants. Stéphane Pauwels a clairement mis en cause Bertrand
Crasson, après ses confidences sur le plateau de La Tribune lundi
dernier.

"C'est un ami mais..."
"Bertrand
Crasson est un ami mais, quand il prétend qu'il recevait des injections
régulières en Italie sans se demander de quoi il s'agissait, je
m'interroge. De toute façon, il m'a avoué durant un tournage de
Vestiaires qu'il était aussi chargé à Anderlecht et que lors d'un match
européen à l'Ajax (NDLR : d'après la DH, ce serait plutôt un match au
PSV), il planait à un mètre du sol. Il m'a également révélé le nom des
deux fournisseurs. Je ne les citerai pas, mais ce sont des personnes en
vue dans le football belge."

Crasson: "C'est pas Pauwels qui serait chargé par hasard?"
Ce mardi, c'est Stéphane Pauwels qui l'a vivement critiqué publiquement, lors d'une conférence sur le dopage, en n'hésitant pas à affirmer qu'il était dopé quand il jouait à Anderlecht.

"Il veut faire parler de lui"
Bertrand Crasson commence à en avoir marre des accusations dont il fait l'objet, surtout de la part de quelqu'un comme Stéphane Pauwels. "Voilà qu'il en remet une couche", a-t-il confié à La Dernière Heure. "C'est pas lui, par hasard, qui serait chargé? En fait, il ne sait plus trop quoi inventer pour faire parler de lui. Je commence en avoir assez."

Les deux hommes se sont pourtant fréquentés à de nombreuses reprises sur le tournage de la série "Vestiaires." D'après Crasson, Pauwels aurait pris au mot les blagues lancées par toute la bande sur le plateau. "On s'est tous bien marré, et on n'a pas arrêté de balancer des vannes. Est-ce de là que Pauwels tient ses infos ? Allons, ce n'est pas sérieux, et il faut que cela s'arrête..."

"On était dopés... à la gagne"
Voilà l'image du joueur, mais aussi celle d'Anderlecht, salie. "Vous imaginez bien que si Anderlecht procédait à du dopage organisé dans son vestiaire, l'info aurait déjà filtré depuis longtemps. Ce soir-là, à Eindhoven, on était surtout dopés à la... gagne!", conclut Crasson dans la DH.

Dans cette histoire, Michel Lecomte a dû perdre encore quelques cheveux, même si on se rappelle qu'il avait étrangement poussé l'ex-Diable Rouge dans ses derniers retranchements, lors de ces fameuses confidences sur le plateau de l'émission foot du lundi soir. Le patron des sports de la RTBF, qui ne voulait plus "éteindre des incendies" après chaque émission, voit revenir ses anciens démons. Avec dans le rôle principal, son ancien "sniper" préféré. Un hasard?

et après il va encore s étonner de recevoir des menaces

Pauwels a tj tout fait pour donner une mauvaise image de notre club

La mise au point de Stéphane Pauwels
Nous vous en parlions ce matin, Stéphane Pauwels aurait attaqué verbalement Bertrand Crasson lors d'une conférence sur le dopage, selon un article de La Dernière Heure. Le plus célèbre chroniqueur du pays a tenu à démentir les propos qui lui ont été mis dans la bouche, même s'il maintient ce qu'il a dit.

"Inacceptable"
"Je ne peux accepter de tels amalgames qui n'ont d'autres buts que de faire couler de l'encre", écrit-il sur son site internet. "Oui, j'ai parlé de Bertrand, car il ne se prive pas, ce qui est très honnête, de parler, lui-même, en télé, de perfusions en Italie. Un article daté du 22 novembre 2011, soit 6 jours avant ma déclaration. Non, je n'ai pas associé Anderlecht à des problèmes de dopage, j'ai parlé de clubs belges. Et ceux dans lesquels Bertrand a joué sont nombreux, même si certains ne retiennent qu'Anderlecht."

"Un buzz dont je me serais bien passé"
Pour Steph', pas question d'injurier le Sporting d'Anderlecht, au contraire. "Que les dirigeants, les joueurs et tous les supporters d'Anderlecht soient rassurés: je n'ai pas associé leur club aux aveux de dopage de Bertrand. La technique utilisée pour créer un buzz, dont je me serais bien passé, s'apparente à celle utilisée pour faire dire à Sarkozy qu'il va quitter Carla ... sauf que dans son cas, c'est tellement gros que personne n'y croie."

"J'assume mais..."
Les déclarations de Stéphane Pauwels ont été sorties de leur contexte, selon lui. "J'assume toutes mes déclarations, mais dans leur contexte et dans le bon ordre. Lors du tournage d'un épisode de vestiaire, Bertrand m'a bien dit que " ... lors d'un match en Hollande, "ils" volaient tous ...". J'en étais tellement surpris que j'en ai parlé, à l'époque avec Michel Lecomte dans son bureau."

"Pas une attaque vis-à-vis de Bertrand"
Le chroniqueur tient aussi à préciser qu'il ne voulait absolument pas s'en prendre à Bertrand Crasson. "Qu'il soit bien clair que mes propos ne sont pas une attaque vis-à-vis de Bertrand, mais bien des propos tenus dans le cadre d'un colloque sur le dopage, colloque auquel participaient des sommités en la matière. Enfin, ce qui est drôle, c'est que l'un de mes conseils était présent à ce colloque et qu'il est, comme moi, surpris des propos que l'on m'attribue."

tellement Censuré se type

je l ai dis en ne le disant pas que je l ai dis sens le dire

Oh putain mais putain Pauwels ta gueule !!! sérieux ce mec c'est l'exemple même d'un gars frustrée d'avoir foiré une carrière foot balistique et qui s'en prend systématiquement au même...