Massimo Bruno, international...italien?

Massimo Bruno, international...italien?

Interrogé par la Gazzetta après la victoire des Diablotins en Italie, Massimo Bruno a évoqué son amour pour le pays et sa Nazionale.

À défaut de marquer un but, faisant ainsi une entorse à ses bonnes habitudes depuis le début de saison, Massimo Bruno a marqué les esprits lors de l'impressionnante victoire des Diablotins en Italie. Avec Yannick Ferreira-Carrasco, positionné sur l'autre flanc, il a causé beaucoup de problèmes aux latéraux de Di Biagio.

Une prestation qui l'a amené au micro d'un journaliste de la Gazzetta après la rencontre. Faut dire que "Massimo Bruno", ça sent bon l'Italie. Et la Botte attire d'ailleurs Massimo, qui confie au journal rose: "C'est sûr que ça me plairait de jouer ici, pour mes origines et parce que la Serie A est un grand championnat. Et puis, je suis un grand supporter de la Juve."

De là à imaginer un transfert, il y a un pas que Massimo ne franchit pas encore: "Pour le moment, il n'y a pas d'offre, à ce que je sache. Nous verrons en fin de saison."

Et si ce n'est pas en club, ce pourrait être avec la sélection puisque, comme le souligne Francesco Oddi, le journaliste de la Gazzetta, Massimo pourrait choisir la Nazionale plutôt que les Diables: "En théorie oui, nous verrons s'ils m'appellent. Ce que je ferais si je recevais un coup de fil? Ça me plairait évidemment! Mais je sais que c'est difficile. Je ne sais pas s'ils ont besoin de moi ici."

Après Bakkali et avant Januzaj, Marc Wilmots devra-t-il appeler Massimo Bruno chez les Diables pour le "verrouiller"? Reconnaissons que l'hypothèse d'une sélection de l'ailier mauve est peu probable dans l'immédiat, et que la Gazzetta est réputée pour démarrer au quart de tour quand il s'agit de faire l'éloge d'un joueur. Mais même si un coup de fil de Prandelli au Parc Astrid n'est certainement pas à l'ordre du jour, on n'est jamais trop prudent...