Mars

L'avion de la Squadra Azzurra frappé par la foudre !

Les Italiens ont eu chaud !

L'avion au bord duquel l'équipe nationale italienne a voyagé vers Genève mercredi a été frappé par la foudre peu avant son atterrissage. La Squadra Azzura affrontera jeudi le Brésil en match amical dans la ville suisse.

Les passagers, rassurés par le personnel de bord, n'ont pas été en danger. "Ce n'était naturellement pas une expérience agréable, et je pense que tout le monde a eu peur", a déclaré le sélectionneur italien Cesare Prandelli.

Finaliste malheureux du dernier Euro, l'Italie affrontera jeudi en Suisse à 20h30 le Brésil, organisateur du Mondial 2014.

L’arbitre est le bourreau des Anderlechtois

À Malaga, son erreur avait coûté la qualification européenne au Sporting

L’arbitre du match en Macédoine n’est pas un inconnu : l’Allemand Deniz Aytekin, un géant d’1,97 m, a arbitré Malaga - Anderlecht, le 4 décembre passé.

Behrang Safari avait marqué un but injustement annulé par M. Aytekin. Mbokani, en position hors-jeu, n’avait pas touché le ballon qui était destiné au Suédois. Anderlecht était furieux puisque ce but aurait pu lui permettre de se qualifier en Coupe d’Europe. Aytekin nous avait avoué qu’il n’était pas sûr d’avoir pris la bonne décision.
M. Aytekin est aussi celui qui a interrompu Saint Pauli - Schalke parce que son assistant s’était pris un verre de bière sur la tête.

Le match retour sera arbitré par le Portugais Olegario Benquerenca, qui avait dirigé trois matches lors du dernier Mondial. Il a également arbitré Anderlecht - Bayern (0-5) et Bosnie - Belgique (1-0).

“Le terrain du Heysel sera dans un état impeccable”

La bâche du Lierse et des canons à chaleur devraient pallier l’absence d’un chauffage

Que les fans des Diables ne paniquent pas : le match Belgique – Macédoine de mardi à 20h45 aura bel et bien lieu. “Et sur un terrain qui sera impeccable” , prétend Groenservice , la compagnie qui s’occupe de l’entretien du terrain. Une bâche, installée samedi, a sauvé les meubles.

Pourtant, il a beaucoup neigé, pendant la nuit de samedi à dimanche. À Bruxelles, il y avait 5 centimètres. Quand les Diables Rouges ont ouvert les tentures de leur chambre d’hôtel à Diegem, ils craignaient le pire. Surtout vu le fait que le Stade Roi Baudouin ne dispose pas de chauffage sous-terrain.

En 2009, lorsque le terrain a été refait, l’installation d’un chauffage a pourtant été envisagée. Mais vu le peu de matches qui se jouent au Heysel, vu l’avenir incertain du stade actuel et surtout vu le prix élevé de l’opération, la Ville de Bruxelles a dit non. Et donc, hier, le stade ressemblait plutôt à une enceinte pour les JO d’hiver à Sotchi.
Heureusement, cette même Ville avait suivi attentivement les prévisions météo. Vendredi, elle avait décidé de couvrir son terrain. Groenservice a transporté l’énorme bâche du Lierse – un de ses clients – à Bruxelles.

Seul souci : impossible de gonfler la bâche, afin de pouvoir réchauffer le terrain. À cause de la piste, il n’y a pas d’ancrage pour fixer cette bâche. Elle ne sera donc enlevée que mardi, et des canons à chaleur vont faire le reste. “Le terrain sera mou, comme il le faut” , insiste Groenservice .

Afin que Belgique – Macédoine se joue sur une surface parfaite, il faut donc que le dernier entraînement des Diables et des Macédoniens ait lieu ailleurs. Les Belges s’entraîneront à 11 heures à Neerpede, où le chauffage sous-terrain avait déjà fait fondre l’épais manteau neigeux, hier matin. Les Macédoniens – qui seront obligés par le commissaire de la Fifa d’épargner la pelouse du Heysel – cherchent encore une solution.

Entre-temps, d’énormes travaux de déblayage doivent avoir lieu, ce lundi et mardi. Les routes autour du stade doivent être accessibles (surtout pour les services de secours), l’esplanade du Heysel ne peut pas être glissante le jour du match, et des milliers de sièges doivent être balayés. Hier, 25 rangées étaient toutes blanches.

La piste d’athlétisme, quant à elle, a déjà été déblayée par des bénévoles, afin qu’un grand tifo avec le logo de l’Union belge puisse y être posé. Malgré le 13 sur 15 des Diables, on se croyait plutôt au Pôle Nord qu’au Brésil, au Stade Roi Baudouin.

Les Diables assurent l'essentiel face à la Macédoine (1-0)

Eden Hazard a libéré le stade Roi Baudouin à la 61e minute, grâce à un petit numero dont il a le secret

Forts de leur succès à Skopje vendredi, les Diables recevaient ces mêmes Macédoniens en tant que leader du groupe A ce mardi soir à Bruxelles. Un changement dans le onze de Wilmots: Fellaini prenait place sur le banc et Mertens le remplaçait.

L'ailier de poche du PSV prenait place sur le flanc droit et De Bruyne glissait dans l'axe. Janevski, le sélectionneur de la Macédoine, préférait Ivanovski à Jahovic en pointe. Lazevski qui avait été très mauvais au match aller prenait lui aussi place sur le banc. Au même moment, les Croates, co-leaders du groupe, effectuaient un déplacement périlleux au Pays de Galles.


Une première mi-temps brouillonne

Le match ne commençait pas sur un tempo très élevé. Les Diables prenaient clairement les commandes de la partie mais sans se montrer véritablement dangereux. Les supporters du Heysel devaient se contenter de trois vraies possibilités. Tout d'abord, une frappe d'Eden Hazard bien captée par Pacovski (7e). Ensuite un bon tir lointain de De Bruyne qui passait de peu à côté (22e). Enfin, Vermaelen se voyait refuser un goal de manière justifiée. Sur un coup-franc bien donné par De Bruyne, Kompany déviait pour Vermaelen qui trainait derrière la défense avant de placer le ballon au fond.

Le reste des offensives belges était trop brouillon et Pacovski n'était pas vraiment mis sous pression. Bien que dirigées par un bon De Bruyne, les actions des Diables manquaient de piquant. Les Diables retournaient au vestiaire avec une seule bonne nouvelle: l'avance prise par les Gallois grâce à Gareth Bale sur pénalty.


Hazard en héros

La deuxième période commençait sur un bien meilleur rythme. Mirallas, lancé par Wilmots à la mi-temps, se créait une première possibilité sur une frappe enroulée qui passait de peu au-dessus. Quelques minutes plus tard, Noveski était oublié par la défense belge. Isolé au second poteau, le défenseur Macédonien manquait sa reprise de la tête. Quelle frayeur!

Les Diables repartaient de suite à l'attaque. A la 54e, Hazard s'amusait avec Ristovski sur le flanc droit et centrait pour Benteke qui ne pouvait conclure. Sur l'action suivante, Kompany reprenait très bien un corner de la tête. Pacovski devait s'employer pour dévier du bout des doigts un ballon qui prenait la direction de la lucarne. A l'heure de jeu, sous l'impulsion de Kompany, les Diables se rapprochaient un peu plus du but.

Hazard voyait sa frappe heurter l'équerre d'un Pacovski médusé. Ce n'était que partie remise pour l'ancien Lillois. A la 62e, sur un long centre de De Bruyne, la défense adverse se dégageait mal. La balle arrivait alors dans les pieds du n°10 des Diables. D'une feinte de tir, il éliminait deux joueurs et croisait une frappe du gauche imparable pour Pacovski. (1-0).

Les minutes qui suivaient la délivrance étaient forcément moins intenses. Et, à force de relâcher la pression, les Diables se créaient des frayeurs. A la 73e, Pandev éliminait trop facilement Witsel et enroulait une frappe juste au-dessus de la cage de Courtois. Le dernier quart d'heure de jeu était pauvre en actions. Hazard, Witsel et Mirallas proposaient néanmoins quelques beaux gestes techniques aux nombreux spectateurs du Heysel.

Les hommes de Marc Wilmots ont parfaitement géré cette double confrontation face aux Macédoniens. Même si le beau jeu a parfois fait défaut lors de ces deux rencontres, le 6/6 des Diables est remarquable. La seule ombre au tableau de cette soirée est la victoire des Croates au pays de Galles. Bien que menés au score, les hommes de Stimac ont su renverser la vapeur et inscrire deux buts en seconde période. La Belgique et la Croatie comptabilisent toutes deux 16 points et caracolent en tête de ce groupe A.


Hazard: "J'ai fait mon boulot"

"J'ai fait mon job", a lâché Eden Hazard à l'issue de la victoire des Diables Rouges sur la Macédoine 1 à 0 en qualifications pour le Mondial-2014, mardi à Bruxelles, sur un unique but du joueur de Chelsea.

"Marquer et faire marquer, c'est ça mon boulot. Si tu joues bien et qu'en plus tu marques, cela donne beaucoup de confiance. C'était une partie difficile face aux Macédoniens. C'est super évidement que mon but offre les trois points. Nous ne devons pas regarder ce que fait la Croatie. Nous savons déjà que ce sera un duel entre nous deux. Nous devons juste gagner tous nos matches."


Witsel: "On a su patienter"

Axel Witsel est resté sur le terrain les 90 minutes lors de la victoire de la Belgique.

"On savait avant le match que le stade serait 'full'. On veut toujours faire le maximum sur le terrain quand on a un public comme cela", a commenté le joueur du Zenit Saint-Pétersbourg. La Belgique a dû attendre un long moment avant de pouvoir prendre les commandes. "On joue de plus en plus face à des équipes où tous les joueurs sont regroupés derrière. On a su bien patienter. C'est avec de telles victoires qu'on arrivera à se qualifier. On verra bien ce qui se passera lors des prochaines rencontres."

Monté à la 56e minute, Nacer Chadli a fait une entrée remarquée. "Je suis content, j'ai fait une bonne rentrée. J'étais content de la confiance que m'a accordée l'entraîneur. On a mis du temps à marquer, mais on les a bien fatigués aussi. On a su faire quelques pénétrations dans leur rectangle et on a fini par marquer."


Wilmots: "Mirallas et Chadli ont beaucoup apporté"

Marc Wilmots était soulagé au terme de la rencontre remportée par la Belgique, 1 à 0, face à la Macédoine.

"1 à 0, cela me suffit. Nous n'avons pas eu beaucoup d'espace en première mi-temps, on a tenté quelques tirs de loin. Mirallas est monté à la pause et nous a apporté plus de vitesse et de profondeur. Chadli nous a bien aidé aussi et Eden a commencé à jouer à ce moment-là", a résumé le sélectionneur national.
Eden Hazard a été décisif en inscrivant le seul but du match. "Il a corrigé son jeu défensif et a beaucoup travaillé. Nous sommes en équipe nationale et à ce niveau, chaque erreur se paye cash. Il apporte tellement offensivement. Il prend du plaisir et c'est ce qu'il a besoin pour qu'on puisse tirer le maximum de lui."

"Nacer Chadli a fait une très bonne rentrée. Nous avons pu profiter de sa vitesse, de son jeu de tête, de sa puissance... le match a changé avec sa montée au jeu. Je ne pouvais pas l'aligner d'entrée car il était resté six semaines sans jouer."

La Belgique reste en tête du groupe avec la Croatie, qui s'est imposée sur le fil au Pays de Galles (1-2). "Si tu comptes les buts qu'ils ont marqué dans les dernières minutes, ils auraient neuf points en moins. C'est une équipe qui ne lâche rien."


Kompany: "l'essentiel a été fait"

Vainqueur de la Macédoine 1 à 0, la Belgique voyait aussi le retour de Vincent Kompany à la compétition, pour la première fois depuis le 26 janvier. "Nous avons fait l'essentiel, nous savions que cela ne serait pas facile", a confié Vincent Kompany au micro de Club RTL.

"L'essentiel est là, je crois qu'il n'y a que le public qui pensait que cela allait être facile. Nous savions que cela serait difficile. On a parlé beaucoup des conditions de jeu en Macédoine. Ici, on a vu que tout le monde a fait le maximum pour jouer sur une bonne pelouse, mais c'était difficile face à une équipe de Macédoine très bien organisée en défense. On a su ce créer des occasions."

"On ne s'attendait pas à un faux pas de la Croatie aujourd'hui. Nous avons l'ambition de gagner tous nos matches. L'essentiel a été fait et on est capable de gagner les matches qui nous restent," a encore estimé Vincent Kompany.


La Serbie bat l'Ecosse

À Novi , la Serbie a battu l'Écosse 2-0 grâce à un doublé de Djuricic (60e et 65e) au terme d'un match resté longtemps incertain en raison de la neige présente sur la pelouse. Mais grâce à l'aide des supporters écossais le terrain a pu être déblayer.

La Serbie, prochain adversaire des Diables Rouges le 7 juin, prend la 3e place du classement du groupe (7 points) devant le Pays de Galles (6), la Serbie (4) et l'Écosse (2).

L'Espagne bat la France, l'Allemagne et l'Italie et les Pays-Bas gagnent facilement

L'Espagne a battu la France 1 à 0 (mi-temps: 0-0) mardi dans le match choc des éliminatoires du Mondial-2014 au Stade de France et a ainsi pris seule la tête du groupe I à un point devant les Bleus.

C'est un très bon résultat pour les Espagnols, champions du monde et d'Europe en titre, car il ne reste plus que trois matches contre les équipes les moins huppées du groupe. En zone Europe, les 9 vainqueurs des groupes sont qualifiés directement pour la phase finale du Mondial au Brésil. Les 8 meilleurs deuxièmes joueront des barrages aller-retour, les 4 vainqueurs rejoignant la phase finale.

L'Allemagne fait le plein de points contre le Kazakhstan

L'Allemagne a rempli son contrat en battant une deuxième fois le Kazakhstan (4-1), mardi à Nuremberg, en match éliminatoire pour le Mondial 2014, quatre jours après l'avoir déjà emporté 3 à 0 à Astana.

Avec cette victoire, l'Allemagne prend ses aises en tête du groupe C, avec 16 points, 8 points devant la Suède, exempte mardi, l'Eire et l'Autriche, qui se sont neutralisées 2-2 à Dublin.

Le sélectionneur Joachim Löw regrettera sans doute le relâchement de son équipe en début de deuxième période, qui a permis aux Kazakhs d'inscrire un but par Heinrich Schmidtgal, qui évolue en Bundesliga à Greuther Fürth, à l'âffût après un contrôle raté du gardien Manuel Neuer (3-1, 46e).

Mais au total, son équipe a dominé très largement la rencontre et s'était déjà mise à l'abri en moins de 10 minutes.

C'est Reus qui a fait sauter le verrou des Kazakhs grâce à une frappe à ras de terre (1-0, 23e), avant que Götze ne double la mise quatre minutes plus tard, en tendant bien la jambe pour pousser dans le but vide le centre en retrait de Lahm, auteur d'un bon débordement (2-0, 27e).

C'est Gündogan, pour sa troisième sélection, en remplacement de Bastian Schweinsteiger, suspendu, qui a ôté tout suspens au match en reprenant un centre de Mesut Özil (3-0, 31e).

Le quatrième but allemand, par Reus, qui s'offrait un doublé, à la dernière minute du match n'a été qu'anecdotique (4-1, 90e).

L'Italie de Balotelli facile à Malte

L'Italie a fait un pas de plus vers le Mondial-2014 en gagnant à Malte (2-0) grâce à un doublé de Mario Balotelli, confortant son avance en tête du groupe B, mardi à La Valette.

L'Italie relègue à 4 points la Bulgarie (2e), qui a fait match nul au Danemark, et la "Nazionale" a joué un match de moins.

Dans le 6+5 à l'italienne, six joueurs de la Juventus, cinq de l'AC Milan au coup d'envoi, le côté rossonero a tiré son épingle du jeu. Stephan El Shaarawy a obtenu le penalty transformé par son coéquipier (8e s.p.), provoquant une faute de Luke Dimech.

"Super Mario" a doublé la mise juste avant la pause (45e) sur un excellent centre en retrait du jeune Mattia De Sciglio, le grand espoir défensif du Milan, qui vivait à 20 ans sa deuxième sélection, cinq jours après la première pour le 2-2 contre le Brésil à Genève, en amical.

Côté Juve, le gardien Gianluigi Buffon a détourné un penalty de Michael Mifsud à 1-0, qu'il avait concédé pour une faute sur André Schembri.

La petite équipe de Malte, entraînée par l'Italien Pietro Ghedin, s'est bien battue après le 6-0 encaissé en Bulgarie. Mifsud, l'attaquant vedette du FC La Valette, la Juventus de l'Île, a gêné la défense italienne, et même tiré sur la transversale (20e).

Le prochain rendez-vous de l'Italie sur la route du Brésil aura lieu à Prague contre la République tchèque le 7 juin.

Les Pays-Bas décollent aussi


Les "Oranje", qui ont écrasé la Roumanie (4-0), ont désormais 7 points d'avance sur la Hongrie (1-1 en Turquie), 2e. Après leur Euro-2012 complètement raté, les Néerlandais s'acheminent vers une qualification directe paisible.

Le Portugal se relance, mais reste 3e

Sans son capitaine Cristiano Ronaldo, suspendu, le Portugal s'est logiquement imposé en Azerbaïdjan (2-0), avec des buts de Bruno Alves et Hugo Almeida qui ont mis fin à une série de cinq rencontres sans victoire.

Mais les Portugais restent 3e, car l'étonnante Israël a battu l'Irlande du Nord (2-0). La Russie, qui compte deux matches de moins, ne jouait pas et reste en tête à un point devant Portugal et Israël.

L'Angleterre rate la marche

L'Angleterre a manqué l'occasion de prendre la tête du groupe en trébuchant au Monténégro (1-1). L'équipe de sa Royale Majesté est toujours à deux points derrière le Monténégro. La Pologne s'est amusée contre Saint-Marin (5-0).

La Belgique assurée d'être barragiste si elle bat la Serbie

Le 7 juin prochain, les Diables Rouges accueilleront la Serbie lors du prochain match des éliminatoires. En cas de succès ce soir-là, la bande à Marc Wilmots serait assurée de disputer au moins les barrages.

Les Diables Rouges ne se sont pas (encore?) débarrassés de la Croatie mais les autres adversaires sont distancés au général. Avec 16 points sur 18, les Belges caracolent en tête et la Serbie, désormais troisième, pointe à neuf longueurs (7 points au total).

Faites-le compte: il reste quatre matches à disputer, soit 12 points à prendre. Si la Belgique gagne contre la Serbie, elle compterait 12 points d'avance sur les Serbes avec trois matches encore à disputer.

Le Pays de Galles quatrième, ne pourra pas non plus rejoindre Vincent Kompany et consorts puisqu'ils pointent à dix longueurs, avec 6 points au classement. L'équipe de Gareth Bale ne jouera pas le 7 juin mais cela ne change rien: une victoire belge et ils sont à treize points.

Reste le cas du moins bon deuxième des neuf groupes qualificatifs, qui n'aura pas le droit de disputer les barrages. Mais vu le bilan belge actuel, on ne doit pas trop s'en soucier.

Signalons que la Croatie accueillera l'Ecosse le 7 juin.

Le point sur le groupe A
Classement: Pts J G N P bp/bc dif
1. Belgique 16 6 5 1 0 11-1 10
2. Croatie 16 6 5 1 0 10-3 7
3. Serbie 7 6 2 1 3 8-7 1
4. Pays de Galles 6 6 2 0 4 6-14 -8
5. Macédoine 4 6 1 1 4 3-7 -4
6. Ecosse 2 6 0 2 4 3-9 -6

Prochaine journée (7 juin):
Belgique - Serbie
Croatie - Ecosse